Comment définissez-vous un logement REALITES ?
Sabine Mouillefarine : « La philosophie de REALITES, c’est de définir l’ouvrage sur la base de ses usages. C’est vrai quand nous définissons globalement un projet en établissant sa programmation ; ça l’est de surcroît quand nous dessinons nos appartements.
Or, il y a mille façons de vivre son logement et les modes de vie ne cessent d’évoluer. On se met donc en permanence à la place de l’occupant, de façon à imaginer un lieu de vie le plus agréable et fonctionnel possible, qui bénéficie au mieux des atouts du site, de l’exposition, de la vue, de la lumière…
Concrètement, quel est l’impact de cette réflexion ?
L’usage, c’est par exemple la vie de famille, les pièces dans lesquelles on va se retrouver… De ce fait, nous favorisons les espaces nobles tels que les séjours et les chambres. Nous proposons à la fois des cuisines ouvertes pour ceux qui privilégient les volumes et d’autres fermées et éclairées pour ceux qui préfèrent des espaces distincts. Les chambres ne doivent pas être réduites à leur plus simple expression. Par ailleurs, nous concevons nos plans en y intégrant l’ameublement, de façon que les acquéreurs de nos appartements puissent bénéficier d’implantations électriques les plus fonctionnelles. Il leur sera néanmoins toujours possible de les faire évoluer en fonction de leur aménagement propre.
Comment faire pour que les logements ressemblent à leurs acquéreurs ?
Pour mieux tenir compte des attentes et des envies de nos clients en termes d’organisation de leur logement comme d’usage des espaces extérieurs, nous nous appuyons sur le résultat de grandes enquêtes auprès de panels représentatifs. Il nous arrive également d’impliquer directement nos acquéreurs dans la définition de certains usages de leur résidence. Que souhaitent-il faire de leur jardin commun ? Un espace de jeux d’enfants ? Un espace de détente ? Un boulodrome ? A eux de choisir la vie qu’ils veulent y vivre !
Par ailleurs, nous menons une réflexion toujours différenciée : un deux-pièces pensé pour une résidence principale n’est pas le même qu’un deux-pièces destiné à de l’investissement locatif. Les logements sont personnalisables grâce à un large éventail d’options : un mur verrière, le cloisonnement comme le décloisonnement des espaces, les gammes de carrelage ou de parquet, leur implantation, le positionnement des prises, la domotique… tout ce qui n’est pas prévu dans le plan de base. La très grande porosité entre nos gammes permet de tenir cet engagement d’adaptation.
Au-delà du logement en lui-même, retrouve-t-on cette philosophie à l’échelle du bâtiment ?
Bien sûr. Avec l’appui d’architectes d’intérieur, nous concevons des parties communes qui portent la signature de REALITES tout en respectant l’identité de chaque résidence. L’expérience REALITES débute dès l’entrée dans l’immeuble et le résident doit se sentir chez lui dès qu’il en pousse la porte. Soigner les halls, les escaliers de service, les sous-sols, leur apporter une personnalité… Notre réflexion sur la taille des différentes pièces, leur luminosité, leurs vues sur l’environnement a bien entendu un impact sur la forme, l’implantation et les ouvertures du bâtiment.
Quelles relations nouez-vous avec vos entreprises prestataires ?
Des relations de récurrence et de confiance. Avec nos partenaires architectes cela nous permet d’être plus efficaces dans la définition de logements les plus conformes possible aux attentes de nos clients et à notre philosophie. Avec les entreprises de construction, nous gagnons ainsi en assurance quant au respect de la qualité et des délais. Quand vous avez confiance en vos partenaires et qu’ils ont confiance en vous…
Un dernier mot sur vos ambitions environnementales…
REALITES HUB 5, notre laboratoire d’innovation qui développe de grands projets urbains, a une équipe dédiée à la recherche. Notre défi, et celui de la filière dans son ensemble, c’est de trouver des solutions qui concilient vertus environnementales de l’ensemble de nos opérations et maîtrise des prix de sortie, au profit de nos acquéreurs. »